Nos valeurs :
L’association Je veux être une aspie (loi de 1901) a pour objectif de faire (re)connaitre l’autisme Asperger comme une neuroatypie sans déficience intellectuelle et avec de véritables atouts personnels et professionnels par la population française. Plus exactement, il s’agit de considérer cette différence neurologique par des mesures compréhensibles et applicables par tous au sein de la société. La communication positive peut être un outil d’inclusion puissant dans tous les domaines de la vie. En outre, il n’est pas question de laisser à l’abandon des personnes en difficultés d’un point de vue allocatif ou médical (en lien avec la neurodiversité Asperger).
Nos actions :
L’association oeuvre,
1 – à la modification de la terminologie qui vient définir le spectre autistique : « léger » et « sévère » mais aussi « trouble » etc. ; création d’un autre statut juridique correspondant plus justement aux autistes Aspergers ; construction sociale, loi, état civil ;
2 – en même temps, qu’elle acte pour la valorisation des compétences des profils aspergers ; emploi, autonomie ;
3 – et qu’elle lutte contre la discrimination et la maltraitance des personnes autistes Aspergers ;
4 – enfin, l’association promeut un point de vue social et culturel plutôt que médical de la part de la population asperger ; ethnologie, art, culture.
Pour parangon, le projet adhère à la mouvance de l’Aspergian Pride, d’Aspies For Freedom , de Neurodiversity.com ou encore de l’ANI.
Dans la mesure ou ce site a aussi pour but de faire connaître la communauté française asperger. Toutes les personnes référencées en son sein son libre de ne pas adhérer à toutes ses valeurs ou actions.
Réfléchissons ensemble !

« La société inclusive, ce n’est pas un slogan, une simple promesse mais c’est un engagement celui de garantir, à chacune et chacun quelque soit sa situation de handicap, la possibilité de vivre dignement. »
— Marisol Touraine, CNH le 19 mai 2016.

« En 1995, Simoine Veil, alors ministre de la Santé, fait de l’autisme une priorité nationale et, elle demande ce qu’un état des lieux soit fait, auprès des comités techniques et régionaux. Quelques temps après, l’autisme sortira des maladies mentales évolutives pour être reconnu comme un handicap. »
— Loi Chossy, 1996.